Les enfants de la maternelle sont en danger.
C’est un peu exagéré comme constat, mais nous ne devons qu’à la vigilance des enseignantes qu’ils le soient moins. Pourquoi ?
Tout d’abord pour les parents qui ne connaissent pas bien le groupe scolaire, le mur qui court des classes de petits aux classes des moyens est le mur de derrière de l’école primaire A. Vous avez peut-être pu remarquer, non loin de la classe de Dominique Cirio qu’il y a une fenêtre, qui s’ouvre vers la cours de la maternelle et qui appartient donc à l’école A.
Lors d’une alerte incendie, cette fenêtre s’ouvre automatiquement. C’est sans doute très bien pour la sécurité de l’école A. Le gros inconvénient à la fin de cette alerte est que cette fenêtre ne se ferme pas automatiquement. Pire : il faut faire intervenir une entreprise spécialisée pour la refermer.
Là où le danger réside pour nos enfants, c’est que d’une part la fenêtre est basse du côté de la maternelle et certains de nos intrépides pourraient bien s’y glisser, ce qui s’avérerait catastrophique car de l’autre côté, dans l’école A, cette même fenêtre est en fait un vasistas si tué en haut d’une pièce. D’où une chute d’1,80m à prévoir.
Et donc, nous ne devons qu’à la vigilance des enseignantes, qui se postent donc au pied de la fenêtre pour en surveiller l’accès, qu’aucun accident ne soit à déplorer.
Ce que nous voulons demander à la mairie : que la conception de cette fenêtre soit revue pour permettre une fermeture aisée, dès la fin de l’alerte incendie soit par le personnel de l’école A, soit par le personnel de la maternelle. Qu’enfin, le personnel de la maternelle cesse de devoir faire appel à une entreprise spécialisée pour la fermer et assurer ainsi la sécurité de nos enfants.
